GREENOCO : POUR SAVOIR OÙ L'ON VA, IL FAUT SAVOIR OÙ L'ON EST

2/22/20233 min read

« La pollution numérique représente plus de 6% des émissions mondiales de CO2 ». C’est la toute première phrase que vous lirez si vous vous connectez sur le site de Greenoco. Alors, on peut se dire que 6%, c’est peu, ça ne fait pas trop de mal à notre merveilleuse planète mais il s’avère que c’est davantage que le transport routier et le double des émissions de l’aviation civile… mondiale. C’est pourquoi s’attaquer à réduire l’emprunte carbone du digital, c’est s’attaquer à une cause importante du dérèglement climatique. Rien que ça.

Le digital s’était déjà ménagé une place de choix dans nos événements nationaux et internationaux. Dans la gestion de pax, dans la communication avant et après, dans l’animation des communautés, dans l’interactivité des réunions, dans l’approche collaborative, etc… Avec la crise Covid, la digitalisation des événements s’est accéléré. L’événementiel, aujourd’hui, ne peut plus se passer du digital. Seulement, l’éco-conception est une tendance de fond dans notre métier et Greenoco peut vous permettre de réduire l’emprunte carbone de votre plateforme, votre site, votre webapp, vos streamings, de 10 à 70%. Des résultats notables, des chiffres percutants, d’autant que Greenoco ajoute qu’elle peut améliorer les performances et réduire les coûts d’hébergement.

Alors comment fait Greenoco pour tenir sa promesse ? Cela se passe en quatre étapes.

Premièrement, l’algorithme de Greenoco permet de mesurer finement l’empreinte carbone de votre site web, pour chaque ressource.

Deuxième étape, Il identifie ensuite toutes les optimisations possibles et leur économie en CO2, afin d’isoler les actions prioritaires à réaliser.

Troisièmement, une fois les optimisations réalisées, vous pouvez mesurer les nouvelles émissions et la réduction d’empreinte carbone du site web.

Enfin, votre site et son audience évoluent : Greenoco identifie les nouvelles économies de CO2 réalisables, pour un site toujours plus éco-responsable.

Pratiquement, les leviers sont nombreux comme le redimensionnement des photos, par exemple ou l’hébergement des vidéo… N’entrons pas trop dans les détails, laissons les professionnels agir pour nous, en notre nom, pour assurer la réussite de l’opération. Comme sur un événement en quelque sorte.

Mais ce qu’il y a d’agréable sur le site de Greenoco, c’est que l’on apprend plein de choses fort intéressantes. Quelle est l’empreinte carbone d’un mail, par exemple. Je ne résiste pas d’ailleurs à vous livrer un extrait de l’article : « Une étude de Carbone Literacy Project montre que les e-mails peuvent émettre entre 4 à 50 grammes de CO2. Eh oui, 4 grammes pour un mail sans pièces jointes, 11 grammes pour un email avec une pièce jointe de 1MB et jusqu’à 50 grammes pour un mail long avec plusieurs pièces jointes… » Multipliez cela par le nombre de mails que vous envoyez tous les jours, faites un rapide bilan à l’année et demandez-vous pour finir combien de personne en France a le même comportement digital que vous.

Oui. Ça en fait des zéros.

Alors n’hésitez pas. Filez sur le site, lisez les quelques articles de l’Actu Décarbonée. En enrichissant votre culture écodigitale, vous allez forcément modifier positivement vos comportements au quotidien.

Et moi ? Je fais quoi ?

Eh bien c’est simple, mais ça prend beaucoup de temps : détruire au maximum le poids numérique des vieux mails et des vieilles campagnes d’e-mailing.

Laurent Desjars