JEU, SET ET SMASH POUR LE TRANSFERT DE DONNÉES

5/7/20255 min read

Quand on travaille dans la communication événementielle, on se sert tous les jours d’un outil de transfert de données pour échanger des vidéos, de lourds Power Point, de l’iconographie et que sais-je encore ? Vous avez toutes et tous utilisé le mastodonte Wetransfer ou la fameuse Dropbox. Mais connaissez-vous Smash ? Et pour quelles raisons je vous parle aujourd’hui de cette société ?

J’utilise ce service depuis quelques mois. C’est un vidéaste avec qui je travaillais sur une convention il y quelques mois qui m’a fait découvrir Smash. Facile d’utilisation et interface agréable pour l’œil, j’ai été séduit par cet outsider, que je prenais pour un mastodonte. Ce n’est que récemment que j’ai appris que la société était française et que le siège se trouvait à Lyon. Comment ? Eh bien, le boss m’a écrit, un mail vraiment sympa qui, du coup, a changé mon regard sur un service qui, jusqu’à présent, n’était à mes yeux qu’un gros data center obèse, une machinerie incompréhensible, un truc auquel on n’adresse pas la parole, c’est inutile.

Smash écrit et Smash parle. Romaric, l’un des associés, a pris la peine de m’envoyer un mail pour me remercier et me demander si tout allait bien, comme au restau. On sent que Romaric est curieux, qu’il a envie de vous connaître, de savoir pour quelles raisons vous utilisez son service plutôt qu’un autre. Et en plus, il ne vous souhaite pas une bonne, ni une belle journée, non, non, il vous en souhaite une excellente.

Combien de « presta », comme on dit, a l’idée d’une telle démarche de nos jours ?

Puisque Romaric me demande si tout se passe bien, je lui réponds spontanément et je lui propose un rendez-vous en visio pour en savoir davantage. Il veut savoir, mais il a fait davantage en me transmettant la même envie. Nous prenons rendez-vous.

Romaric commence par me parler de son business. Smash a plus de huit millions d’utilisateurs et est parti à la conquête des moyennes et des grandes entreprises. Smash a de l’ambition. En France mais également à l’international.

Je la ramène un peu en lui parlant du Drive, de Google et de Microsoft… Il me répond que le transfert de données n’a pas le même usage. Il vient compléter tous les outils déjà existants. Il est une fonctionnalité bien pratique pour gagner en productivité et pour limiter le stockage de données inutiles dans toutes les messageries. Le transfert de données, le partage de fichiers, les entreprises comme Smash ont un véritable impact budgétaire sur les organisations lourdes. C’est aussi un moyen de s’aligner sur les politiques RSE, un moyen de rattraper la vertu numérique. Smash, c’est une grande claque dans votre empreinte carbone parce que le stockage des données que vous partagez possède une date de péremption.

Combien de « presta », comme on dit, a l’idée d’une telle démarche de nos jours ?

Puisque Romaric me demande si tout se passe bien, je lui réponds spontanément et je lui propose un rendez-vous en visio pour en savoir davantage. Il veut savoir, mais il a fait davantage en me transmettant la même envie. Nous prenons rendez-vous.

Romaric commence par me parler de son business. Smash a plus de huit millions d’utilisateurs et est parti à la conquête des moyennes et des grandes entreprises. Smash a de l’ambition. En France mais également à l’international.

Je la ramène un peu en lui parlant du Drive, de Google et de Microsoft… Il me répond que le transfert de données n’a pas le même usage. Il vient compléter tous les outils déjà existants. Il est une fonctionnalité bien pratique pour gagner en productivité et pour limiter le stockage de données inutiles dans toutes les messageries. Le transfert de données, le partage de fichiers, les entreprises comme Smash ont un véritable impact budgétaire sur les organisations lourdes. C’est aussi un moyen de s’aligner sur les politiques RSE, un moyen de rattraper la vertu numérique. Smash, c’est une grande claque dans votre empreinte carbone parce que le stockage des données que vous partagez possède une date de péremption.

Mais je laisse à Romaric et son équipe le soin de vous expliquer tout cela, je ne suis pas un spécialiste, juste un petit curieux qui a envie de connaître l’histoire de la boîte.

C’est une histoire familiale. Un père et deux frères qui s’associent pour un projet IT, dans la blockchain au départ et puis le partage de données. Romaric a travaillé pour Havas, il a participé à la création de Havas digital et il s’est rendu compte, très vite, des besoins grandissants, du périmètre de ces besoins et de ce qu’il pouvait faire, lui, pour résoudre les problèmes des autres.

Smash a huit ans et huit millions d’utilisateurs, je vous l’ai déjà dit, mais la coïncidence est frappante. L’entreprise grandit, comme le marché. L’échange de fichiers est un secteur en croissance mais la concurrence est dure, les acteurs nombreux.

Romaric me dit que « tout le monde » le traitait de dingue en se lançant dans un business saturé. J’ai déjà entendu ce refrain. J’ai interviewé le patron de « La Belle Équipe », une agence d’hôtesses qui se lançait sur un marché sur-saturé. Résultat ? Une réussite. Et pour Smash ? La même chose. Comme quoi, il ne faut jamais écouter « tout le monde ». Il faut croire en ses idées.

Je finis par la question que je pose toujours : Pourquoi avoir choisi ce nom ? Pourquoi Smash ? Ils sont tous les trois passionnés de tennis. Je m’en doutais un peu. Et pour l’international, ajoute Romaric, c’est un nom qui a de l’impact.

En tous les cas, Smash en a eu sur moi. Un mail, un comment ça va ? un « excellente journée » et ça change tout. Smash avait un utilisateur fidèle. Aujourd’hui, il a un ambassadeur. Engagé.